Depuis 2104, l’Alliance verte compense les émissions de carbone de son colloque annuel, GreenTech. Mais, en 2018, l’Alliance verte a décidé de pousser un cran plus loin cet engagement environnemental.
L’Alliance verte, avec l’aide de Planetair, a donc entrepris de calculer et de compenser les émissions de gaz à effet de serre (GES) générées en 2018 par les déplacements terrestres ou aériens de tous ses employés – pour se rendre au travail ou lors de voyages d’affaires – ainsi que la consommation d’énergie des locaux qu’elle occupe. L’Alliance verte a ainsi acheté des crédits carbone équivalent à son empreinte pour l’année dernière, soit l’équivalent de 33 tonnes de CO2.
Les crédits carbone utilisées sont certifiés Gold Standard, les plus renommés sur le marché, et sont parrainés par la Fondation David Suzuki et le Fonds mondial pour la nature (WWF). Ils servent à financer des projets de reboisement urbain et semi-urbain au Québec ainsi que des projets d’énergie renouvelable, d’efficacité énergétique, de gestion des matières résiduelles, de reforestation, d’amélioration de la production agricole et d’accès à l’eau potable qui changent la vie de communautés partout sur la planète.
L’Alliance verte a arrêté son choix sur ces crédits puisqu’il n’existe actuellement pas de projet Gold standard associé au milieu maritime ou océanique. Ces crédits forestiers proviennent en fait du premier et unique projet homologué Gold Standard en Amérique du Nord.
La certification Gold Standard développe des projets dans les pays non signataires du protocole de Kyoto et assure que ces crédits sont : réels, mesurables, uniques, vérifiés par un tiers indépendant, permanents et additionnels. La durée des projets est de 7 à 10 ans pour les projets d’efficacité énergétique ou de transfert technologique et de 50 ans pour les projets de reforestation.