Toronto, le 21 mai 2009 – Dans le cadre du Colloque environnemental sur les technologies vertes pour le transport maritime, l’Alliance verte dévoilait officiellement hier les premiers résultats globaux de ses participants à la Politique environnementale de l’industrie maritime du Saint-Laurent et des Grands Lacs. Il y a plus d’un an, 44 entreprises de l’industrie maritime du Canada et des États-Unis avaient accepté volontairement, en devenant membres de l’Alliance verte, de faire l’autoévaluation de leur performance environnementale selon des enjeux prioritaires. À la lumière de ces autoévaluations, l’Alliance verte est fière d’annoncer, en toute transparence, qu’en matière d’environnement, l’industrie maritime d’ici surpasse les réglementations en vigueur.
« Ce résultat est très encourageant, compte tenu des nombreux objectifs que nous nous étions fixés au tout début de l’Alliance verte, affirme Gerry Carter, premier coprésident de l’Alliance verte et président de Canada Steamship Lines. De plus, une telle moyenne laisse entrevoir de grandes possibilités d’amélioration pour notre industrie et tend à démontrer la crédibilité de notre politique environnementale, qui trace une feuille de route ambitieuse et exigeante pour ses participants. »
Une première année de validation
La première année de mise en œuvre de la politique environnementale de l’Alliance verte a aussi permis de valider la qualité du programme. « Après une première année d’autoévaluation, nous sommes en mesure de constater, avec satisfaction, que la grande majorité des critères de la politique sont pertinents et bien compris de la part des participants », confirme Terry Johnson, deuxième coprésident de l’Alliance verte et aussi président de la Saint Lawrence Seaway Development Corporation. Pour monsieur Jonhson, cette première année a aussi permis à l’Alliance verte d’instaurer un processus de vérification externe avec certaines entreprises en vue de l’implanter à tous les participants à partir de la deuxième année afin de donner encore plus de crédibilité et de rigueur à l’Alliance verte.
Vers l’amélioration continue de l’industrie maritime
Pour Laurence Pathy, troisième coprésident de l’Alliance verte et président de Fednav, « les résultats obtenus grâce aux autoévaluations représentent un excellent point de départ pour l’Alliance verte qui s’en servira pour mesurer la progression de la performance environnementale de l’industrie maritime au cours des prochaines années. »